Petit debat et regles du concour ?

[bdf007]

c quoi les questions restantes??

[caya]

les femmes ke sheppard tente de séduire....
et lautre fruit auquel est allergique Mckay ....
Courage c'est faisable en cherchant un tout petit peu...

[bdf007]

pour les femmes
Teyla dans le premier episode
ya chaya (l'ancienne)
Allina (une daganienne de la communaute des 15)
la femme dans "tempus fugit"
la femme dans "la tour"
la scientifique taranienne dans "inferno" il est d'ailleur en concurrence avec mckay
et pour finir la chef des nomades de l'espace

[flobx33]

l'orange ?

[caya]

bdf il te manque 1 dame!
flo: lorange est un agrume! le fruit que lon cherche nest pas un agrume!

[bdf007]

je rajouterais bien weir mais sans conviction

[Kad]

Moi j'en compte quelques unes de plus, mais tu en as surtout oublié des tres importante dans l'histoire, dont une il est marié avec... enfin ca dure pas...

et pour le fruit bah cherchez bien, quand j'ai posé la question caya a trouvé de suite.... bouh les nuls... gag!!!

[flobx33]

poire ?

[Kad]

en fait bdf je vais te l'accorder à une condition c'est que tu retrouve le nom de l'exclave wraithqui tente de le seduire...

et cela fera 9 !!!

[Kad]

bon puisque tout le monde semble allez se couchern pour en blaser certains et en frustrer d'autres mais pour donner des envies aussi... bon souvenir de la vieillé du 411...

Spoiler:

Acte IV Scène 4

Les mêmes que la Scène précédente.

? Bastien revient, tu sais bien qu'elle te cherche. Allez s'il te plaît éclaire la de ta lanterne.
? Mais je pense que c'est toi qui devrais lui en parler.
? C'est ce que j'ai fait, mais il me semble qu'elle n'a point tout entendu.
? Arthur, intervint Louise se sentant un peu délaisser, Je te prie assis toi. Et raconte-moi ta vision de la première fois.
? Tout commence par un bel Hiver, il y a de ça 4 ans. Sur un bateau, j'ai rencontré une charmante demoiselle, peu importe son prénom, tout de suite s'instaura un climat de confiance, tout au long des différentes discussions que nous avions. Parler de soi à un inconnu est toujours plus simple, et c'est ce que nous fîmes tous deux pendants ce séjour à l'étranger. Peu à peu, le désir te submerge, il envahit d'abord ton corps et puis ton esprit se laisse entraîner dans ce tourment, ce tourbillon que l'on nomme l'amour. Même s'il ne s'agit ici que d'une attirance réciproque et profonde un besoin, un gouffre de tendresse à combler, un océan de passion qui s'était au fil des années de l'adolescence agrandit au point de recouvrir cur et raison. Mais souvent, oui, trop souvent raison et sentiment ne vont pas de pair.
? Dis! abrège tout le côté émouvant et viens en au fait.
? Rien ne peut se faire sans ce côté obscur, sans le first préliminaire. Ce jeu de séduction s'étale des fois sur des heures, ou simplement sur quelques minutes, pour certains cela peut s'éterniser sur des mois et même des années. Tant que cela reste, d'une infime et extraordinaire beauté, tant que la valse des regards se perd encore dans la pupille de l'autre, alors aucune magie ne peut surpasser celle-ci. Je te le dis au monde aucune merveille faite de la main de l'homme ou de la nature, ne t'enlèvera ce premier regard, ce premier désir, cette envie de l'autre qui en appellera bien d'autres.
? Alors, je t'en prie continue...
? Ainsi durant, les premiers jours, la part de confidences et celle du désir ne devaient pas se chevaucher, la crainte que l'autre ne soit pas à ton égard aussi attentionné et aussi subjugué par toi pourrait te faire plonger dans un profond doute. Il s'agit ici de la première fois. Cette fois-là, tu découvres les joies et les doutes de l'amour. Suis-je amoureux, est-ce juste de l'attirance? Toutes ces questions tu ne seras en mesure d'y répondre que le jour où cette première fois sera passée.
? Bastien, il raconte à merveille, tu ne trouves pas!
? Oui, c'est le travail d'un auteur que d'être capable de parler comme il écrit!
? si vous permettez, je continue?
? Vas-y je t'en supplie!
? Beauté d'un soir, le froid par ce bel hiver nous enveloppa à la sortie du restaurant. Peu s'en fallut-il, pour que dès cet instant nos lèvres se touchèrent. Mais rien ne se produisit, je considérais, moi le grand romantique un peu écervelé par l'amour qui me guettait depuis si longtemps, que le moment était sans doute mal choisit, et puis attendre n'est-ce pas attiser le feu de cet Eden. Je galopais avec elle un peu partout. Puis un parc, une nuit étoilée, un silence paradisiaque, et des regards féeriques, l'harmonie de cet instant nous fit chavirer dans les bras l'un de l'autre. Plus rien n'existait, le ciel pouvait bien nous tomber dessus, même en bon gaulois que nous sommes cela n'aurait rien changer, tout tremblement de terre, tout raz de marée, toutes catastrophes, que les Dieux auraient voulu mettre sur le chemin de l'extase, nous semblaient à tous les deux vaines bêtises. D'ailleurs y aurions prêté attention, j'en doute.
? Avec Bastien, cela ressembla à cela!
? Je n'en doute point. Mais sais-tu mon amie, que le simple souffle de sa bouche dans mon coup, créait en moi une étendue verdoyante de caresses sans en avoir connu la moindre auparavant. Est-il si simple d'éprouver du plaisir, que le son de sa voix ouvrait en mon esprit tant de continents inexplorés. Sa main posée sur la mienne, et je m'évanouissais de bonheur. Même, le pinson ne fut jamais aussi gai que moi en cet instant merveilleux.
? Je n'en puis plus, je pense que je vais aller marcher un peu, mais Arthur, dès que je reviens je voudrais que tu me parles de la chose...
? Il est entendu entre nous que je le ferai, alors n'est crainte.

Acte IV Scène 7

Arthur - Bastien - Louise

? Vous revoilà! Je me demandais où vous étiez, car les mots risquaient à terme de s'envoler tout seul
? Tu n'avais pas intérêt à nous faire cela!
? Arthur, je te convie à continuer ton récit, aussi beau est-il!
? Je vous expliquais donc que le moindre geste venant d'elle, m'emportait vers l'extase d'un coucher de soleil. Nous entamions après plusieurs jours de palabres, une partie de plaisir, cette approche dont je parlais tout à l'heure. Celle-ci est si importante, qu'elle prend la place qui lui faut, ce est-à-dire comme la place d'un paquebot dans un port de pèche. C'est plus ou moins encombrant, mais cela met une animation, un boom, une révolution, un séisme, enfin, je ne sais plus trouver les mots pour vous dire à quel point la vie serait grise sans ces moments-là.
? Que diable me racontes-tu! Je croirai du charabia...
? En effet, je te l'ai dit les mots me manquent, mais cela va revenir.
? J'espère, car tu m'as mise dans un tel état avec ton précédent discours que je suis en attente d'une description précise et honnête de la suite.
? Nous rentrâmes le soir par le train, jusque dans nos appartements. Rien Ne laissait prévoir autant de volonté à partager notre couche pour la première fois. Une fois devant ma chambre, elle me prit la main et me dit que son lit lui semble plus confortable. Je la suivis donc jusqu'à sa chambre sans me poser la moindre question. Juste une excitation incommensurable, qui ne voulait plus me lâcher. Pour la première fois, j'allais me retrouver seul avec une femme dans un lit. Désolé pour le langage, mais mon sexe se mit à jouer la carmagnole, à chanter les louanges de l'amour et fini tout bêtement par me gêner plus qu'autre chose. A quel point mon cur jouait du Yo-Yo, je ne peux vous le dire. Elle s'approcha de moi et posa ses mains autour de coup, m'embrassa dans un élan de tendresse. Je senti au travers de ses vêtements ses deux tétons sur mon torse. Ils étaient dure et violaient mes désirs les plus intimes. Son baiser? si longtemps dura-t-il, que je voulais partir. Pourquoi? Je crois que cela me faisait peur. L'imprévu de la scène me faisait craindre la suite.
? Réaction sommes toute étrange. Ne la désirais-tu pas au point de vouloir lui donner du plaisir.
? Oh bien sûr que si, mais comme cela si vite! Je ne sais pas...
? Et alors, après?
? Sa langue vint percuter la mienne. Dans le même temps ses mains se baladaient dans mon coup, j'en frissonnais de partout, dans mon dos, l'érection de mon sexe en devint plus démente encore, sur mes fesses, je sentais déjà ses mains avancées vers mes parties les plus précieuses. Je faisait, il faut le noter, de même de mon côté. Puis je ne sais ce qui me prit, je la soulevait du sol et la portait ainsi tout en continuant de l'embrasser avec ferveur. Ses mains devinrent bientôt l'objet de toute mon attention. Elles défaisaient un à un les boutons de ma chemises. Je la reposais sur le sol, cela me permettant de faire de même.
? Tout cela est excitant.
? Oui, je l'avoue. Sans aller trop vite, elle ne m'enleva pas ma chemise, mais passa ses mains au travers, elle avait enfin le contact qu'elle voulait avec ma peau, toucher le buste de l'homme qu'elle désirait depuis si peu de temps, mais avec tellement d'ardeur. Voilà, je crois qu'à ce moment, j'eus pour elle un geste un peu cru. Je plaçais ma main gauche sous sa jupe, Je sentis un léger soubresaut de sa part. Elle me dit de continuer, que cela n'était rien. Jamais de ma vie, plus naturellement je me mis à jouer la Neuvième Symphonie de Beethoven. Mes Mains volait sur ses jambes, tel le pianiste sur les touche de son piano. Effleurer et sa peau et sentir ses poils se dresser, cela m'enchantait. Sa main m'enleva d'un coup ma ceinture, et déboutonna les boutons de ma braguette. Je voulu l'en empêcher, mais si rapide et si efficace fut-elle, que mon sexe soulevait déjà tout mon caleçon. Elle se mit à rire à la vue de ce spectacle. Son rire me subjugua, je restait un peu comme paralysé. Ses mains allaient et venaient de plus en plus prêt de cette zone. Elle me retourna et se mit sur moi. Dès lors, ce ne fut plus ses jambes que je tenais, mais ses fesses, et je remontait vers ses seins pour rencontrer la fraîcheur des deux tétons. Nous étions encore habillé à ce moment là. Elle s'agrippa à ma chemise et me fit passer de la position allongée, à celle d'assise et là ma chemise me quitta. Torse nu et ne voulant pas être en reste, je défis son chemisier et le projeta loin dans la pièce. Petit obstacle, le soutien gorge, pas pour très longtemps à vrai dire.
? Tu crois que quoi, tu nous donnes envie de le faire.
? Je pense que c'est pour cela que vous me demandez de vous en parler.
? Effectivement, mais continue.
? Mes mains purent enfin serrer ses seins, tandis qu'elle dansait sur mon pénis pour voir à quel point je la désirait. Enfin, elle tomba sur mon côté et prit ma main. Elle plaça celle-ci sur sa partie sensible à elle. Dès cet instant, telles des fourmis, mes mains et mes doigt travaillait à enlever sa jupe, son collant, par la même occasion elles se glissèrent sous sa le linge qui les séparait du joyau de la couronne. Dans le même temps, je me retrouvais sans pantalon et puis sans rien. Point de mal ne m'en fit, étant donné qu'elle se trouvait dans une situation similaire. A partir de là, commence réellement la découverte du corps de l'autre. Les mains peuvent parcourir tout le corps sans aucun obstacle et ainsi pousser le rythme des caresses au stade de l'apocalypse.
? Tu veux dire que tout ce que je jusqu'à maintenant tu nous a dévoiler, n'est que le début.
? Je ne dirait pas cela, intervint Bastien, juste que Arthur aime la période des préliminaires et qu'il te démontre que cela est beau.
? En effet, les mains dansent et parfois s'affrontent. Le plaisir se fait sentir, il devient pressant. Alors les deux amants, que nous étions, surent alors qu'il était temps de passer au delà d'une certaine limite. Fini la période des caresses sensuelles, démarrait maintenant celle des caresses érotiques. Je plaçait ma mains au niveau de son entrejambe et elle fit de même, le plaisir que nous nous donnions fut intense car unique. Sa bouche vint d'un coup mordre mes tétons et elle se plaça sur moi, je sentis que mon sexe voulait braquer la banque. Allongé sur moi elle me mordait tout les parties de mon torse, puis elle descendit, encore et encore, je sentis sur mon phallus une langue fraîche et enivrante. Je l'attrapais pour lui demander de se retourner, alors plutôt que seul l'un de nous pris plaisir à la scène, nous deux étions maintenant dans une telle position qu'ils nous étaient impossible de bouger tellement les spasme de joie et de plaisir nous envahissait. Moment féerique et inlassable caresse de nos langues, le temps ne comptait plus, joies intense et savoureuse d'un moment qui pour l'éternité devait se graver dans nos cur et nos esprit.
? Tu crois vraiment que cela ne s'oublie pas!
? Pour sûr, si aujourd'hui je t'en parle ainsi, c'est que jamais je n'ai pu oublier cet instant.
? Alors continue!
? De cette position, nous changions pour une autre plus Adéquat. Elle préférait être pour commencer en dessous, et pour cela je crois que moi aussi. Nos extrémité génitale se cherchèrent un moment, le temps que nos mains, et tout le reste de nos corps soit en harmonie. Ainsi, est-il peut-être vulgaire ici de parler simplement d'une pénétration, mais je ne sais quel autre mot employé. De toute façon, il n'y eu aucune rudesse dans le geste. Toute la beauté, je pense résida en cela, la chaleur de nos corps, la volonté de faire cela dans une certaine symbiose, de
le garder à jamais inscrit en lettre d'or dans nos esprit, nous fit Avancer avec prudence. Point question était-il de faire mal à l'un ou à l'autre. Trop précieux fut cet temps passer ainsi à s'aimer dans la chaleur d'une chambre de plus en plus familière.
Nos deux sexe s'en retrouvèrent à jamais unis, provoquant dans l'extase du moment un plaisir unique, sensuel, charnel, érotique et désormais à jamais graver dans nos curs. Avoir envie de se faire l'amour devint aussi courant que de s'embrasser. Dès ce jour, je fus pourtant marquer par tout cela.
? Ainsi tu n'as pas voulu aller plus loin dans la description de l'acte, pourquoi?
? Il ne te sert à rien de savoir comment tout c'est dérouler, il te sert juste aujourd'hui de savoir que le jour où tu auras envie quelque chose de similaire t'arrivera. Sache que chaque personne réagit différemment à tout cela. Mais sache aussi que nul plaisir au monde n'est plus intense que celui-ci, plus désirable, plus charnel et qu'alors une fois que l'envie est là, il ne sert à rien de la renier.
? Tu m'a donné une envie pour pauvre ami, que je ne sais pas comment je fais pour ne pas sauter sur Bastien
? Oh, à ce point là! (Bastien est choqué mais satisfait)
? Je crois qu'il est temps pour vous de rentrer, cela serait plus Sage.
? Je crois aussi.

(Bastien et Louise s'en vont d'un pas soutenu

[caya]

pfffffff l'arnaque c'est la même chose ke la semaine dernière!!! moi je veux la suite!!!

[bdf007]

pour le fruit je dirais l'ananas vu que c le fruit recurent dans SG1
et pour le nom de l'esclave des wraith je ne me souviens pas comment elle s'appelle mais dans ta question c les femmes que sheppard seduit pas l'inverse!!!

[caya]

+50 pour bdf! bien joué
non c'est pas l'ananas non plus! demain on retrouvera un zod ou il est question de ce fameux fruit

[bdf007]

pour repondre a kaddrik l'esclave s'appelle neera et c'est dans la deuxieme partie de l'union fait la force!!
sur ce bonne nuit

[caya]

félicitation bdf! et merci d'avoir participé! bonne nuit à toi aussi!